Ironie semiotique dans le miroir a trente-mille pieds. En un moment pénible de lucidité, j'aperçois des yeux si clairs qu'ils en paraissent voilés. Et à quatre heures du matin, désertées par lève-tôt et lève-tard, les rues de Tokyo n'ont plus pour elles que les insomniaques et la farandole des taxis, sans plus de sens les uns que les autres. La…
… À suivre