Chaque fois qu'il me prend d'écrire sur Tokyo Art Beat, je me retrouve invariablement à utiliser la métaphore parentale; sans doute un peu facile, mais si logique qu'elle s'impose. Après avoir passé les longs mois de la gestation, avoir écrit sur l'extatique naissance, il ne pouvait y avoir qu'une suite cohérente: les nuits sans sommeil de la petite enfance…
… À suivre