House of Light
Dans la maison de lumière, «house of light» d'un James Turrell un tantinet imbu de son concept, on rencontre d'abord les ombres et de drôles de souvenirs éclairés aux néons ridicules, rouges et verts. Tanizaki, reloaded. Un grand bain étrange, pis, le Loch Ness ou pataugent en papotant quelques monstres pas sacrés.
Et puis il y a les applaudissements des gouttes de pluie sur le bois sombre, sur la pierre, sur la mousse; il y a la légèreté d'une fleur bleue venue, virevoltant à la brise, me chatouiller quand avec un livre je pensais m'isoler, et repart au vent, joli songe.
Il y a enfin la lumière, la vraie, celle du jour, ses jeux insensés de couleur, et puis grosse fatigue, le jour s'en retourne sous la brume, et les enfants ivres du cliquetis de leurs chambres obscures, sous la couette.
Avant/Après
Amour (vache)
L'amour: oui, ce qui se passe entre un homme et une femme qui s'aiment, les sortilèges un peu sots de la séduction, le magnifique rêve imbécile de n'être plus qu'un et puis l'installation dans la longue et impitoyable tendresse de la guerre conjugale, l'hostilité négociée, les grandes manoeuvres et les petits mensonges de l'adultère, le théâtre et les scènes…
… À suivre
Vertigo
Les récits de survivant sont toujours insanes, se forcent à la romance, à l'heroisme, amnésiques que tout instant est une survie, aussi.
… À suivre