J'ai du mal à cerner ce qui rend la démarche de beaucoup de (jeunes) femmes japonaises (pas des hommes, qui, en toute objectivité bien sûr, sont relativement ininteressants en la matière) particulièrement fascinante, mais j'ai la certitude, ayant traîné mon regard sur les rues de bien des pays, d'avoir rarement vu quoi que ce soit de similaire.
Peut-être est-ce dû à des talons trop hauts, à des chaussures incofortables, à la manière de porter le sac à main (à la main ou au creux du coude, mais toujours le bras plié façon bras d'honneur, l'autre se balançant en rythme), à une quelconque particularité morphologique, toujours est-il qu'il y a quelque chose de pathétique et troublant dans la cambrure et les déhanchements désarticulés de ces fessues funambules.
Depuis la nomination de Junichiro Koizumi au poste de premier ministre, il ne se passe pas six mois au Japon sans que la polémique autour du temple Yasukuni ne fasse surface. Koizumi rend régulièrement, à titre privé ou non, une petite visite à ce temple où sont enterrés les heros des guerres diverses qui ont fait l'histoire du Japon. Et…
… À suivre
Sans ses voisins, Ebisu serait certainement un de ces quartiers lambda, residentiels, calmes. Mais, entouré des branchouilles Daikanyama et NakaMeguro (prononcer nakamei pour faire genre), Shibuya l'extravagant et Hiroo le friqué, le quartier prend vie à travers de jouissives scènes de rue… Tel ce bien joli garçon à la sortie du "vantan design institute" qui, la démarche chaloupée, me salue,…
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